Dans « Il n’y a pas d’âge pour jouir », la psychanalyste Catherine Grangeard défend les femmes de 50 ans et leurs désirs en puisant dans son expérience thérapeutique.
« Dans le cinéma, à 35 ans, les actrices ne sont plus castées dans des rôles de séductrice. Pour les hommes, ça dure jusqu’à 52 ans. Vous imaginez, ce rab de 20 ans qu’ont les hommes pour jouir de leur physique ? » On est à cet instant dans le cabinet, sur le divan et dans la tête de la psychanalyste Catherine Grangeard. A 62 ans, elle publie « Il n’y a pas d’âge pour jouir », aux Editions Larousse, une joyeuse réponse à l’écrivain Yann Moix, qui lançait l’année dernière : « Je vous dis la vérité. A 50 ans, je suis incapable d’aimer une femme de 50 ans […] Je trouve ça trop vieux ». Rien ne la met plus en pétard. Et rien ne ressemble moins à de l’amour, dit-elle.
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https://www.nouvelobs.com/societe/20201023.OBS35125/des-femmes-de-plus-de-50-ans-se-co nsiderant-comme-des-seconds-choix-amoureux-prennent-les-miettes-qu-on-leur-jette.html
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